Au début du bal de l'empereur, alors qu'au sein de la foule les différents invités se jaugent et s'évaluent, l'un des Buveurs de sang se permet une question impertinente à l'égard de Taharqua :

Dix pages plus tard, quand un Taharqua plutôt fâché quitte les lieux, il ne manque pas l'occasion de faire son petit effet...
Morale de cette histoire : on ne manque pas de respect à l'Ange de la mort!
(Le bal de l'empereur, tome 3 du Bras d'Orion, en est à la page 28).